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>>> Essai de catalogue
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- K - | ||
Le bouquiniste plus jeune...1989? |
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Ma dernière intervention sur cette page date du 1 janvier 2004 | ||
KA, Karol. Les Sexyférés. Cannes : Éditions du Pichet, 1961. |
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KALDA, Alexandre. Le Désir. Paris : Albin Michel, 1968. |
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KAMIDEL. Dorotchim ou La gloire de Sodome. Nancy : imprimerie Bertrand, 1909. |
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KANAL GAY. Association de radio rennaise. Voir à : RADIO SAVANE |
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KANDAOUROFF, Princesse Beris. Adam sans Eve. Paris : J. Dullis, 1973. |
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KARNAUCH, Rémi. L'Oeil de l'hydre. H&O, 2002. |
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KäSTNER, Eric. Fabian. Paris : Balland, 1931, 308p. |
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KAWABA, Yasunari. L'Adolescent. Albin Michel, 1992. |
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KAY, jackie. (1961-). Le Trompettiste était une femme. Joss Moody, légendaire trompettiste de Jazz, noir, meurt le 21 Juillet 1997. Son entourage est abasourdi. Ce n'est pas tant la nouvelle de sa mort qui plonge les gens dans la stupeur qu'une révélation bien plus brutale : Joss Moody était une femme. " (4ième de couverture). Hachette, 2001, 333p. |
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KELEN, Jacqueline. Aimer d’amitié. Paris : Laffont, 1992. |
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KELLERMAN, Jonathan. Cité comme auteur de polars LGBT (pour la série "Delaware", en particulier Double miroir Poket, 1999) dans le livre de Anne et Marie Rambach, La Culture gaie et Lesbienne. (24 10 2004). | ||
Kerdéland, Jean de. L'Aventure en travesti. Paris : Soc. priv. d'Imprimerie et d'Edition, 1945. |
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KEROUAC, Jack. (1922-1969). Sur la route. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1960, 386p, 140x205. Docteur Sax. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1962, 272p, 140x205. Les Clochards célestes. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1963, 248p, 140x205. Les Souterrains. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1964, 192p, 140x205. Big Sur. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1966, 280p, 118x185. Le Vagabond solitaire. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1969, 256p, 118x185. Satori à Paris. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1971, 160p, 118x185. Visions de Gérard. Paris : NRF coll. Du Monde Entier, 1972, 208p, 118x185. |
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Kerraoul, Bernard de. Le Poids des âmes. Paris : Julliard, 1963. |
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KERRUEL, Yves. Pseudonyme de HERVÉ, Gérald. ( 1928-1998) Des Pavois et des fers. La marine humilie un homme coupable d’aimer en dehors des normes. Julliard, vers 1970, 250p. Le Soldat nu. Suite à l'e-mail reçu plus bas, j'ai lu ce livre. L'histoire se passe dans le Finistère sud entre un officier un peu désabusé après l'indépendance de l'Algérie et une jeune recrue déserteur. L'auteur mélange le regret de Algérie Française et l'envie sexuelle de cet officier réfugié près de sa femme à Concarneau (p 42 à 49) pour le jeune militaire qui vient les rejoindre et qui hésite encore entre le terrorisme de l'OAS et le "à quoi bon changer le cours d'une histoire inexorable". La Mer, la femme, l'amant, le regret... le désir et l'amour, des fois ça traîne.... Paris, Julliard, 1974. ( 23 09 2003)
Ci-joint un e-mail que j'ai reçu, sans aucune vérification et surtout sans caution de ma part : Extraits d'un article sur internet http://iquebec.ifrance.com/lesolympica :
" Gérald HERVÉ : une exclusion sous le signe de Descartes Ce livre est né d’une blessure existentielle. Son auteur, jeune Commissaire de la Marine Nationale dans les années cinquante, a été exclu de la Marine, sur un soupçon d’homosexualité. -"Je me dois de vous punir pour le respect de ce Dieu auquel je crois", trancha à son égard le Commissaire Général de Marine (issu de l’X). Désormais, indigne de servir les armes de la France. Une "affaire" dans laquelle jouèrent un rôle décisif l’Aumônerie Catholique aux Armées et la haute Administration mandarinale de la rue Royale. -"Je ne crois pas qu’il soit humain de lui briser sa vie", avait pourtant conclu dans son rapport l’Officier-Inspecteur, mais la Raison fut évoquée en réplique par le même Commissaire Général qui se targuait de Dieu - et se plaça sous le signe de Descartes. l’auteur de ce livre pourrait dire encore le bafouement du principe de non-confessionnalité de l’Etat et la disparité de traitement dont il fut victime, car, en l’occurrence, et pour le même motif, d’autres que lui, mieux-nés, furent mutés au Quai d’Orsay dans la Carrière... (après une période de retraite spirituelle...) "Mes maîtres m’ont appris qu’il y avait deux France, les héritiers de l’Ancien Régime et ceux de la Révolution", a écrit Jean Daniel. Devenu, après bien des tribulations et d’humiliations, Maître de Conférences à l’Université de Rennes, Gérald Hervé n’a cessé de s’interroger toute sa vie sur la figure emblématique (et problématique) de ce capitaine français qui partit d’un si bon pas... (?) Son exclusion de la Marine et ce livre sur Descartes forment aujourd’hui un tout. La Nuit des Olympica se veut aussi l’Anabase réfléchie (et nationale) à la source d’une telle amputation du corps social. (Quel gâchis humain !) Règlement de compte, peut-être, mais avant tout, compte de justice. A l’âge de l’auteur, il ne peut plus être apuré que par des mots et des pensées encore vivantes.
La Nuit des Olympica
A travers ce Descartes iconoclaste (un Discours terrassant ?), Gérald Hervé accomplit son "voyage au bout de la nation". Après tout, au nom de quoi fut-il frappé, sinon de la spiritualité ? Eh bien, parlons-en de la spiritualité! tel fut le principe de ce livre. Deinde cartesiana... Voici le premier Descartes d’ambiance - une attaque frontale ad hominem, élevée à la hauteur d’une querelle culturelle (et nationale)... A l’instar de ce quidam athénien qui en avait assez d’entendre appeler Aristide le juste - ici, Descartes, le raisonnable. La spiritualité franco-cartésienne revisitée en 1997. Contre Hobbes (un Anglais) et Gassendi (un "Italien"), avec Descartes la philosophie française avait définitivement pris ses marques: nous sommes (officiellement) spiritualistes, donc cartésiens. Une philosophie-culte, une philosophie rétro, qui est toujours nôtre - Descartes plus que jamais présent et sans cesse invoqué - un de ces "blocages" ferroviaires aussi importants que ceux de la SNCF. La France cartésienne (d’aujourd’hui): une spiritualité raisonnable. Point de trop (à Droite). Une raison spiritualisée. Point de trop (à Gauche). Et la France toujours entre deux chaises (thomistes). On a été eus avec Descartes, cette valeur fiduciaire représentative d’un certain way of life (mental), de cette "viscéralité de l’ethnocentrisme culturel français". En réalité une immense Cléricature, tous bords politiques confondus, qui est tout sauf cette raison universelle qu’elle prétendit être. Raison cléricale qui perdure bien au-delà de ses pétitions de principe opportunistes: Descartes (comme Vichy) "le philosophe des petits arrangements". A l’orée du troisième millénaire (sera-t-il aussi sanglant que le précédent?), la raison à sauver n’est pas celle de Descartes qui, sous couvert des Lumières, a contribué à la confusion généralisée: croyances sonnant le glas de l’humanisme religieux. Et de toutes les mystifications laïcisantes puisées à cette même source qui n’a cessé de marquer la structure de l’epistémé bourgeoise. Sous les auspices de la Belle France de G. Darien, l’auteur s’interroge (et nous entendons leur voix) sur ce haut-lieu commun, sans cesse ressassé, selon lequel nous sommes tous héritiers de la rationalité cartésienne. Du Descartes universitaire aux aperçus sur la France contemporaine, la Nuit des Olympica illustre comment et à quel prix les poncifs de notre pensée et les clichés de notre mémoire se reflètent dans le miroir d’une telle cléricature. Reprendre ici le combat libertin/libertaire entrepris au dix-septième siècle contre la spiritualité des bien-pensants et l’ontologie du régime cartésien. Tant de dogmes tantôt érigés, tantôt abattus - accorder enfin cet espace de liberté aux perdants d’une raison non-croyante. Tolérance? rationalisme? Avant tout, cibler la bêtise, l’incongruence du maccarthysme chrétien et de sa théologie - l’imbécillité, plénière, comme la Grâce. "Quel est le sens de l’hostilité en philosophie, se demandait Karl Jaspers? Peut-il y avoir une polémique philosophique?" La même question que reprend ce livre injuste et inspiré - où la sévérité et la rigueur de l’argument se trouvent si souvent tempérés par l’impertinence de ton et l’humour du propos." (19 08 2003)
Voici un e-mail reçu le 10 Aout 2003 :
"Bonjour! |
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KERSUAL, Marc. Le Bouquet de Lilas. Paris : Le Rayon / Balland. Mansfield, Ohio. Paris : Balland 2000, 459p. |
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KERVEAN,
Jean-François. Vingt fois toi et moi. On se laisse finalement
prendre par le style qui fait souvent un peu forcé de modernité. Mais le
mélange grand amour avec un tapin russe, de recherche sur la conception d’un
monument au souvenir du dernier train de déportés juifs assassinés, et de la
vie du héros finit par prendre, et répondre un peu à cette question, qu’est-ce
que l’Amour : « Aimer. Dans l’air, la nuit, la place,
fraîcheur, buées, néons. De la paume il repousse l’idée d’aimer, idiote, elle
pourrait tout gâcher. Un élan excessif briser le processus. » (p 12)
« -François, tu m’aimes ?. Du bureau je braille gna gna gna. Patrice
déboule. –T’es vraiment con, toi, en fait, un con. Je ne sais pas, mais je ne
peux pas. Quand il demande tu m’aime ? je ne sais plus qui je suis, j’ai
une espèce de doute, de gêne, je ne peux pas. Tu m’aimes. Oui, oui. Les amis
vont arriver, enlève ton tablier, n’oublions pas les cacahuètes, les olives. Je
le hais. Je me sens une poupée. Pire un couple. D’ailleurs, il le dit d’une
voix bizarre. – Il y a des questions que tu n’as pas à me poser, Patrice.
–Pourquoi, ça fait pédale ? – Non, je ne sais pas. – Ah, tu vois. »
(p 119)
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KERZUAL, Marc. Mansfield, Ohio. Balland, 2000. |
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KESSEL, Joseph. Bas-fonds de Berlin. Paris : Les Editions de France, 1934, 224p. |
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KHAWAM, René. Le grand traducteur des poètes arabes. Livres en vente de l'auteur sur notre site. | ||
KIHM, Jean-Jacques. (1923-1970). Pour plus de connaissance, on peut lire les pages 331,2,3 du N°211-212 de la revue Arcadie, due Juillet-Août 1971. Ce fut un grand spécialiste de Cocteau : Jean Cocteau. Paris : NRF coll. Bibliothèque Idéale, 1960, 328p + 16p hors texte, sous couv ill, 28ill, 118x185. Idem, Coll Ila Bibliothèque Idéale,328p, 16p hors texte, 28ill, 118x185, relié toile. Jean Cocteau, l’homme et les miroirs. Table Ronde. Correspondance André Gide et Jean Cocteau. Table Ronde, 1970. Marcel Béalu. Seghers. Un roman : Si je criais. Edition du Seuil. Des poésies : Arabesques. Clowns Pointe-sèche. Eloge de l’Ombre. Soixante cinq poèmes d’amour. Editions Seghers. Extrait de la page 332 de la revue Arcadie ci-dessus citée : Je voudrais que les plus beaux jeunes gens de la terre lisent mes poèmes, Je voudrais que les plus beaux couples de la terre aiment mes poèmes, Je voudrais que les plus voluptueuses voix de la terre disent mes poèmes, Je voudrais que seuls les plus beaux jeunes gens de la terre connaissent mes poèmes, Je voudrais que mes poèmes fassent de tous les jeunes gens qui ouvrent mes livres les plus merveilleux jeunes gens de la terre. |
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KINURA, Martin. Les Enfers parallèles. Vers 1971. |
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Kisch, Egon Erwin. La Chute du colonel Redl Enquête sur la fin de l'Autriche-Hongrie. Paris : Desjonquères, 1992. |
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KLAICH, Dolorès. Femme et femme. Attitudes envers l’Homosexualité. Présentation de la vie des lesbiennes dans les années 1970, avec les principales figures saphiques de l’avant guerre. Des femmes, 1976. |
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KLUMPKE, Anna. Rosa Bonheur, sa vie son œuvre. Paris : Flammarion, 1908. |
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Kochno, Boris. Christian Bérard. London : Thames and Hudson, 1988. |
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KOGON, Eugen. L’Enfer organisé. Paris : Editions de la jeune parque, 1947 réédité sous le titre : L’Etat SS., le système des camps de concentration allemands. Paris : Seuil, 1970, et en point seuil en 1979. |
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KOLNEY, Fernand. Le Salon de Mme Truphot ou le moderne satyricon. Quignon, 1927. (sous réserve pour son côté lgbt). |
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KOLTES, Bernard-Marie. (1948-1989) pour ses romans et son théâtre. Quai Ouest. Paris : éditions de Minuit, 1995, 109p. |
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KRAFT-EBING. (1840-1902) Un médecin allemand grand classificateur des « perversions sexuelles ». Il inventa le nom de masochisme en souvenir de Sacher-masoch, dans Psychopathologia Sexualis de 1886. Pour avoir lu le premier tome de sa dernière publication en poche, on y apprend que rien n’a changé de nos sexualités dans cet inventaire de cas divers. Boff. |
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KRAUSS, Krandall. Le Fils du Président. Montblanc, H&O, 2001,317p. |
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KRICH, A.M. Les Homosexuels, vus par eux-mêmes et par leurs médecins, Sigmund Freud, G.V. Hamilton, C.G. Jung, Magnus Hirchfeld, Clara Thompson, etc.... / trad Pierre Martet. Corréa, Buchet-Chastel, 1955, 352p. |
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KYRIA, Pierre. Jean Lorrain. Paris : Seghers, 1973. Livres en vente de l'auteur sur notre site. |
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AUTRES AUTEURS SUIVIS A LA BERNIQUE |
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KAMPMANN Christian (1939-1988) danois. KANTOROWICZ Ernst (1895-1963) allemand. KIPLING Rudyard (1865-1936) anglais. KOUZMINE Mikhaïl (1875-1936) russe. |